Beat Bühlmann, CEO de finpension: « On essaie de plus en plus d’accroître l’efficience, mais aussi d’améliorer l’expérience client, afin d’offrir un service de meilleure qualité et plus rapide. Beaucoup se fait via smartphones et apps mobiles, où les attaques de hameçonnage sont presque encore plus difficiles à détecter en raison de la structure du site Web, etc. »

Christoph Clavadetscher, spécialiste des cyberrisques auprès de la Mobilière: « Les caisses de pension disposent de données sur la santé, qui sont des données personnelles particulièrement sensibles selon la loi sur la protection des données. Elles disposent aussi de ressources financières importantes. »